Gestion du risque lié à l’exploitation des réseaux sanitaires collectifs : surveillance du paramètre légionelle

Répondre aux obligations de la directive 98/83/CE du 3/11/1998, arrêté du 26/07/2002, etc.

• Savoir analyser des réseaux d’eau,
• Déterminer les installations à risques (retours d’eau, bras morts, bouclages, etc.),
• Identifier les réseaux et reports sur plans ou schémas,
• Être force de proposition et mettre en place des préventives et curatives.

Responsables de site et de la maintenance. Chargés d’affaires. Artisans. Chauffagistes. Techniciens de maintenance.

Exercer son activité dans le secteur du génie climatique, du chauffage et/ou de la plomberie.

Risques sanitaires liés à la présence de bactéries dans les réseaux d’eau chaude et froide :

Comment les détecter ? Liste et identification des réseaux d’eau à risque :

• lieux à risque (identification),
• matériels et installations susceptibles d’être contaminés,
• expositions à risque des personnes et des intervenants,
• maintenance oubliée lors de passages (contrôles).

Pourquoi et comment prolifèrent-elles ?

• milieux favorables à leur prolifération, origines de leur présence dans le milieu, mode de prolifération, niveaux de responsabilité fixés par la réglementation en vigueur.
• réglementation relative à la lutte contre les risques sanitaires suivant le type de réseaux , les circulaires et arrêtés préfectoraux, les dispositions à retenir.

Mesures préventives et curatives :

• mesures à observer, à la conception et au montage, lors des actions de maintenance,
• information et formation des différents acteurs.

Disconnection :

• rappel des normes et des obligations légales,
• notions techniques : conception d’une installation, nature des matériaux utilisés et le devoir de conseil,
• type de matériels présents sur le marché,
• apports d’une prestation de maintenance par la valorisation du contrôle externe (contrats),
• modalités d’organisation et de planification des tâches liées à l’activité de maintenance.

Apports théoriques : supports de cours.

Apports pratiques : exemples, études de cas, échanges entre participants (retours d’expériences).

Une évaluation des acquis par questionnaire à choix multiples (QCM) en fin de formation.

Obtenir une attestation d’aptitude à la désinfection des réseaux et production ECS.