Responsables maintenance : les défis du management de proximité !

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Afortech a développé depuis plusieurs années, en partenariat avec des entreprises majeures du génie climatique, des formations s’adressant spécifiquement à l’encadrement de la maintenance.

Les compétences d’un Responsable maintenance, qu’il soit responsable d’une équipe ou d’un secteur, sont en effet décisives pour la bonne exécution d’un contrat de maintenance, – et pour la santé de la relation client-fournisseur sur le long terme. Très souvent issus du « terrain », reconnus pour leur savoir-faire technique et leur engagement, ces Responsables maintenance se voient confier des missions d’encadrement opérationnel qui demandent une expertise et un positionnement aigus.

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Ils doivent prendre de la hauteur tout en restant humbles, se faire respecter dans leur rôle, être meneurs d’hommes, garants de la bonne réalisation technique, transmettre leurs connaissances et savoir-faire à leurs équipes et s’assurer de leur montée en compétences. Par ailleurs, leur capacité à dialoguer avec le client et les autres intervenants (autres corps d’état, sous-traitants, etc) est déterminante pour le bon déroulement des opérations. Ils ont besoin de savoir gérer des situations de litige, de tension ou de non satisfaction du client lors d’une panne, tout en protégeant leur équipe et les relations contractuelles. Bref, le sens du doigté est primordial …. et les formations sont là pour l’aiguiser !

La construction  d’une prestation de formation au management de proximité de Responsables maintenance nous amène du coup à nous poser les questions suivantes :

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Quelles sont les spécificités de l’encadrement de la maintenance ?

Les services de la maintenance se distinguent d’autres services par la longue durée des contrats : la relation avec le client est ainsi à envisager sur le long terme, et tout doit être fait pour la préserver dans de bonnes conditions.

D’autre part, les techniciens côtoient le client très régulièrement sur le terrain. Leurs compétences techniques sont essentielles, mais aussi la qualité des relations avec un client parfois mécontent lors de pannes ou de dysfonctionnements.

L’art de manager ces techniciens de maintenance va être de gérer l’image de l’entreprise à travers eux.  Art d’autant plus difficile qu’il s’exercera à distance. Des relations de confiance entre Responsable maintenance et techniciens seront du coup primordiales : il s’agira pour lui de les cadrer au plus près du contrat, de les aider à développer leurs compétences et à gérer des relations clients pas toujours faciles, – tout en les accompagnant lors des hauts et des bas de la relation.

Ce mode de management est bien spécifique des métiers de service, où l’encadrement n’est pas sur place, et où les techniciens sont seuls en territoire parfois « hostile », le temps que le service reprenne et que la panne soit réparée.

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Quelles sont  les compétences que doivent pouvoir démontrer les Responsables  maintenance ? Et quels sont les principaux défis qu’ils doivent dépasser personnellement pour devenir efficaces sur le terrain, dans le monde d’aujourd’hui  ?

Le Responsable maintenance doit gérer avec rigueur l’ensemble des prestations, encadrer les équipes et superviser les sous-traitants attachés aux sites qui lui sont confiés. Il doit le faire avec de plus en plus d’autonomie et dans un esprit de service parfaitement maîtrisé. Son supérieur hiérarchique lui délègue progressivement des responsabilités d’administration et de gestion : il représente l’entreprise à travers son équipe, en plus des enjeux contractuels et commerciaux.

Un bon Responsable maintenance doit être un véritable coach pour son équipe : aider ses techniciens à gérer les litiges éventuels, les rebooster quand leur moral flêchit, mais aussi leur exprimer sa reconnaissance pour leur bonne gestion quotidienne… Toutes ces habiletés s’apprennent et se développent. Tout cela dans une attention rigoureuse au cadre contractuel, et dans le contexte d’une relation client qu’il faut savoir porter sur le long terme.

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Interview de Mr Arnaud Kasparian, Directeur de Setemi

1/ Mr Kasparian, quels ont été les constats et analyses qui vous ont amenés à vouloir mettre sur pied avec Afortech en 2018 cette formation des Responsables maintenance de Sofratherm et de Setemi ?

Notre motivation a été de regrouper les équipes des responsables maintenance, et de travailler sur leur communication. C’est très important, parce que les métiers de service demandent beaucoup d’exigence. Nos Responsables d’équipe ou de secteur sont compétents techniquement, mais nous avons voulu développer leur relationnel, avec leurs clients et entre le management de leurs techniciens.  Notamment par une meilleure gestion des litiges et un bon management des techniciens. Ces derniers ont en effet un rôle primordial puisqu’ils sont les ambassadeurs de nos entreprises.

2/ D’une façon générale, comment cette formation a-t-elle été reçue de vos Responsables ? Quels ont été les feedbacks que vous avez entendus tout au long de ces mois de formation ?

Pour avoir partagé avec chacun, et organisé des réunions de groupe sur les modules  réalisés, cette formation qui s’est tenue sur six mois a reçu des feedbacks largement positifs. Elle a créé une dynamique dans l’entreprise, et amélioré la cohésion d’équipe. Ce cursus a été co-construit avec Afortech et son intervenant, et adapté au plus près de nos processus métier. La forte implication de nos Directions a aussi beaucoup contribué à l’adhésion de nos responsables, qui en ont compris le sens pour l’entreprise.

3/ Quel bilan faites-vous de cette formation d’encadrement maintenance ? Quel en a été l’enjeu pour votre entreprise ?

Cette formation a aidé chacun à prendre conscience de ses difficultés et a donné les clés pour les surmonter. Elles ont été exprimées et creusées, individuellement et en groupe. Cela représente incontestablement un pas en avant pour l’entreprise. Il y a aura un avant et un après. Le bilan est donc complétement positif pour moi, pour Setemi, et pour Eric Gobert, Directeur de Sofratherm.

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Quels outils pragmatiques peuvent délivrer ces formations à des Responsables maintenance qui ont souvent développé davantage une compétence technique, qu’une culture du management dans la complexité ?

Le Responsable d’équipe confirmé doit gérer efficacement l’ensemble des prestations, encadrer les équipes et superviser les sous-traitants attachés aux sites qui lui sont confiés. Il doit le faire avec de plus en plus d’autonomie et dans un esprit de service parfaitement maîtrisé. Son supérieur hiérarchique lui délègue progressivement des responsabilités d’administration et de gestion. Afortech organise deux formations, l’une davantage pour les responsables d’équipe nouvellement promus (MAINT-05), l’autre pour les chefs de secteur confirmés (MAINT-07).

Les objectifs pédagogiques sont les suivants :
  • Gérer efficacement l’ensemble des prestations, encadrer les équipes et superviser les sous-traitants
  • Contribuer à la valorisation et au développement des contrats
  • Représenter son entreprise, en être l’ambassadeur
  • Assister, seconder son chargé d’affaires sur l’administration et la gestion des affaires

Sont abordées également les compétences sociales, inter-personnelles, commerciales et contractuelles du Responsable maintenance ; et également comment devenir le coach de son équipe.

Les deux parcours ont été travaillés préalablement dans le cadre d’une commission technique d’Afortech et du GCCP, avec des professionnels et des consultants bien au fait de ces métiers. Ensuite, la formation a été bâtie sur mesure avec les entreprises que cela intéressait, comme cela l’a été récemment avec les directions de Sofratherm et de Setemi, pour répondre au mieux à leurs besoins. Cette approche tout en « dentelle pédagogique » a manifestement été appréciée de ces deux clients (cf l’encart ci-dessus)… Et nous sommes à votre écoute si vous souhaitez entamer avec nous une telle approche.

Afortech est à votre disposition pour co-construire avec vous une approche similaire, pour répondre au mieux aux problématiques de votre entreprise. Contactez Afortech et renseignez-vous auprès de Catherine Saudecerre, Directrice,  014051425, csaudecerre@afortech.com.

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Webinaires et classes virtuelles ont le vent en poupe en entreprise !

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Les classes virtuelles, un mode de formation nouveau adapté à la mobilité des professionnels, … et aux contraintes des entreprises !

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Avec les nouvelles technologies, le monde des entreprises bouge vite. En parallèle, de nouveaux formats de formation émergent : webinaires, classes virtuelles, digital learning, blended learning, vidéos animées, serious games, chaîne de vidéos d’entreprise, etc. De fait, ces nouveaux modes d’information ou de transmission révolutionnent complètement la façon dont les savoir-faire sont adressés aux professionnels. Mais aussi la manière dont les formateurs enseignent et leurs méthodes pédagogiques.

Ceci dit, d’après les expériences de beaucoup d’entreprises qui s’y sont déjà frottées, beaucoup ont l’air d’y trouver leur  compte : les formateurs qui ont plus d’outils d’animation de leurs classes à disposition ; les apprenants, qui n’ont plus besoin de se déplacer et de passer des journées entières hors de leur environnement de travail pour suivre une formation ; les entreprises, qui optimisent leurs coûts de formation et la productivité de leurs collaborateurs ; et même les organismes de formations qui rentabilisent mieux les différents modules pédagogiques dans lesquels ils ont pu investir. Voyons un peu plus en détail le pourquoi du comment.

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Les stagiaires ou apprenants, surtout les jeunes, sont aujourd’hui familiers des applications sur smartphone, tablettes ou ordinateurs : le monde virtuel et numérique est facilement accessible pour eux, si ce n’est même évident. Ils n’auront que peu de réticence à rentrer dans une classe virtuelle, à communiquer avec leurs collègues par « chat », à passer d’une présentation à une vidéo, à un quizz d’émulation ou à un « serious game ». De plus, le format court et ramassé d’une telle classe (souvent autour d’une heure) rend l’accès modulaire à la formation plus attractif.

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L’approche pédagogique qu’un formateur doit déployer pour délivrer une heure de cours en classe virtuelle est tout à fait différente du traditionnel présentiel.

Le professeur va devoir devenir un animateur, dont le défi ultime va être de susciter et de maintenir l’intérêt de ses élèves le temps de la session, dans le but qu’ils restent connectés: pour ce faire, il devra véritablement passer par toute la palette des outils qu’un webinaire lui offre pour assurer une interactivité vivante entre lui et sa classe. Il faut maintenir l’intérêt et faire vivre le groupe dans la durée. C’est un critère essentiel de satisfaction et il est rédhibitoire.

On attend du formateur/animateur qu’il maîtrise la pédagogie, la communication, les outils multimédias, et bien sûr, la plateforme de formation à distance. De formateur, il deviendra chef d’orchestre d’une partition qui se joue en virtuel, mais en temps synchrone. De fait ces classes virtuelles permettent un échange à distance en temps réel : tous les participants voient et entendent la même chose au même moment. Challenging !

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Les entreprises importantes, ayant des sites répartis sur tout le territoire, devaient jusqu’à maintenant compter avec des coûts de formation non négligeables : le coût du formateur bien sûr, celui des salles, et bien souvent celui tout à fait conséquent des transports et des hébergements des collaborateurs à former. Pour les PMEs, ces coûts étaient relativement tout aussi lourds. Avec pour tous la perte de productivité engendrée par ces jours entiers de collaborateurs n’étant pas à leur poste de travail.

Il est sûr qu’une approche pédagogique plus modulaire permet de bâtir des cursus beaucoup plus intégrables aux contraintes professionnelles : les sessions plus courtes, et surtout que l’on peut suivre de son lieu de travail sans avoir à voyager, sont bien plus faciles à caser dans les agendas.

Bref, les entreprises en viennent à nouer des relations différentes avec les organismes de formation, qui outre une  prestation pédagogique leur offre aujourd’hui un accompagnement technique de communication et de formation à distance qu’ils coordonnent pour ou avec eux.

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Ces nouveaux modes pédagogiques ont le mérite de permettre aux apprenants d’être acteurs de leur professionnalisation. C’est l’apport le plus intéressant de ces nouvelles interactions entre les apprenants et les animateurs. Les apprenants vont pouvoir co-construire ensemble des solutions, partager leurs pratiques, échanger, tisser des liens, constituer des réseaux. Les possibilités sont très nombreuses et permettent d’ajouter une dimension créative à la formation.

Cette possibilité offre aux formés la possibilité de prolonger leur formation par une meilleure intégration de leurs  nouvelles compétences , et elle offre pour la première fois aux organismes de formation l’opportunité de faire de « l’après-formation » une étape à forte valeur ajoutée. La prestation pédagogique devient prestation de conseil, d’accompagnement de l’entreprise, voire de coaching personnalisé.

Enfin, les organismes de formation y voient également leur intérêt : à rentrer dans ces nouvelles technologies, à générer des modules de vidéos, à revisiter leurs cursus pour les rendre plus modulaires, ils deviennent plus capables d’offrir à leurs clients du vrai sur-mesure, tout à fait adapté aux entreprises qui souvent souhaitent co-participer à ces actions de transmission.

En effet, animer, accompagner les groupes, favoriser les échanges entre eux, suivre les formés, faciliter les transferts de compétences, vont constituer un nouvel élément de l’offre de formation d’une part, favoriser la revente de certains modules,  et permettre de développer des réseaux d’autre part.

Bref un nouveau monde pédagogique se dessine : nous rentrons dans l’ère du digital learning et de la formation virtuelle multi-modale, plus personnalisée, mieux adaptée aux besoins, et au final au business model plus intéressant pour tous !

Contactez Afortech pour envisager avec nous une nouvelle prestation de formation à distance :  renseignez-vous auprès de Catherine Saudecerre, Directrice,  01 40 55 14 25, csaudecerre@afortech.com

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Entreprises du BTP : de l’art et de la manière de gagner des points de marge

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Trois professionnels nous donnent leurs recettes pour améliorer – et protéger – ses marges !

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Lors du petit-déjeuner qui s’est tenu au Club des Entrepreneurs le 29 mai, un tour d’horizon a été fait des écueils les plus fréquents que rencontrent trop souvent les entreprises du Bâtiment , et qui peuvent faire chuter drastiquement leurs marges.

Mr Joseph Lasserre, qui dirige l’entreprise de couverture et de plomberie Doumer OPCC, témoigne de sa propre expérience à utiliser la plus-value d’une approche de Lean construction, pour revisiter les modes de travail de ses équipes quand ils sont insatisfaisants.

Mr Régis Fontaine, Consultant chez Optilium Consulting, nous parle des gaspillages et des principaux domaines de non-productivité qu’un audit de Lean management peut mettre en exergue dans une entreprise, et des façons d’y remédier.

Enfin Mr Christophe Gagnant, Avocat associé chez Miellet & Associés, nous décrit avec passion les déboires contractuels les plus courants qu’il rencontre dans sa pratique, et quelles seraient les bonnes pratiques pour se protéger.

Nous leur avons posé quelques questions pour aller plus loin, et tâcher d’illustrer comment concrètement un dirigeant de PME peut s’y prendre s’il veut remettre à plat les domaines où il sait qu’il risque de perdre de l’argent, et quels résultats il peut attendre d’une approche de Lean construction.

Q1 / Quels sont les déclencheurs qui conduisent généralement une PME à entamer une démarche de Lean Construction, ou même tout simplement de protection de sa marge ?

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Le déclencheur est le plus souvent la volonté du dirigeant de transformer son entreprise. Cette décision est souvent basée sur un constat, par exemple de problèmes organisationnels : des délais trop longs de formalités administratives entre la commande et la livraison des matériaux sur le chantier peuvent amener à travailler sur les différentes étapes du processus, à identifier les gaspillages entrainés par un trop grand nombre d’interlocuteurs, à vouloir remettre à plat une procédure trop compliquée. Un audit organisationnel, qui génère une cartographie de tout ou partie des services de l’entreprise, révèle souvent les différents dysfonctionnements inter-services, et permet de trouver plus de simplicité et d’efficacité.

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Les déclencheurs,  ce sont les  expériences douloureuses de marges, ou parfois bien plus, « volées » par des pratiques contractuelles et  de gestion très agressives  de la part des donneurs d’ordre.

Le constat  d’un déséquilibre dans le contrat dès sa signature, puis en phase d’exécution, conduit  légitimement  à la  réflexion  sur les moyens de s’opposer ou de résister,  plutôt  que de se soumettre.

La liberté contractuelle, c’est l’équilibre, pas la soumission. Cette prise de conscience est un moteur d’action…

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Les déclencheurs ont été doubles : tout d’abord la frustration de ne pas comprendre pourquoi je n’arrivais pas à gagner plus sur mes chantiers ; ensuite, de par ma formation sur le Lean management dans l’industrie, je trouvais bizarre que cela ne serve pas plus au monde de la construction. Qu’on ne cherche pas à se challenger sur les modes de travail et leur performance, par fatalisme ou pessimisme.

C’était la volonté de se poser les bonnes questions sur nos façons de fonctionner, en sachant qu’on pouvait faire mieux.

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Q2 / Comment s’y prennent concrètement, ou peuvent s’y prendre, les PMEs pour s’attaquer à ce genre de défi ?

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En général, elles font appel à un consultant, qui va amener un oeil neuf et effectuer un diagnostic sur un, deux ou trois jours, selon le périmètre. Un groupe de travail va être constitué, et dans un atelier ou un chantier va suivre une équipe pour voir comment elle fonctionne. Le groupe, accompagné du consultant, va décortiquer les méthodes de travail et les étapes, va identifier la valeur ajoutée et celle qui l’est moins, et va proposer des améliorations ou des simplifications. Cela peut être aussi de bâtir une cartographie de l’entreprise.

Les aberrations éventuelles sont alors mises en exergue et débouchent sur un plan d’action de transformation de certains processus. Les acteurs clés peuvent être accompagnés de diverses manières : par de la formation au Lean Management, par du conseil ou plus finement encore par du coaching, pour les suivre dans la durée.

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Les PME doivent se doter d’outils permettant d’identifier les postes de pertes financières sur  leurs marchés, et d’en déterminer origine et cause. La sécurisation  contractuelle et la bonne gestion  des réclamations  préservent  ou limitent les mauvaises surprises.

Un audit contractuel sur des dossiers sélectionnés  permet ainsi de repérer les défaillances, et de trouver des remèdes simples. La démarche d’amélioration  implique  une attitude ferme et  professionnelle  à l’égard des cocontractants ; –  ce qui n’exclut en aucun cas le maintien de relations  de qualité. Mais j’insiste : personne n’ a rang  sur vous  dans votre spécialité.

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J’ai essayé d’abord de me renseigner sur le Lean Management dans la construction : j’ai lu des ouvrages, et ensuite j’ai contacté une entreprise de conseil spécialisée sur le sujet.
Nous avons mis en place un format de formation qui convenait à notre entreprise. L’entreprise de conseil est intervenue chez nous une dizaine de jours, avec les différentes personnes de notre entreprise : chargés d’affaires, assistantes,  chefs d’équipes, – pour voir ce que ça voulait dire et comment on pouvait regarder différemment nos façons de faire.
Il y a eu donc d’abord une sorte d’audit collaboratif, et ensuite formations en interne.

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Q3 / Quels résultats probants ont obtenu certaines entreprises de votre connaissance, après un tel travail sur leur performance ?

 

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Leur volonté de questionner leur performance crée souvent un climat plus serein dans l’entreprise. On s’aperçoit que les professionnels sont moins stressés, parce qu’ils se sentent écoutés. Leurs façons de travailler ont été simplifiées, souvent avec leur adhésion, si ce n’est sur leur proposition. Les méthodes de travail sont mieux organisées, mieux anticipées. Les équipes deviennent plus autonomes dans leur travail. Et surtout a été mise en place une culture de l’amélioration, une dynamique de groupe, et une préoccupation de résolution des problèmes.

Ils prennent l’habitude de se mettre tous autour de la table pour aller jusqu’au bout de la recherche de solutions. C’est un vrai accompagnement au changement dans la durée qui est programmé, et qui rentre petit à petit dans la culture de l’entreprise, avec une implication de toutes ses strates. C’est aussi une sortie du travail en silos, avec la valorisation de compétences croisées. Bien sûr, la performance générale s’y retrouve et produit ses effets !

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Il  est  essentiel de  connaitre son  environnement juridique afin de faire naitre des réflexes de  protection sur la base d’une  check liste d’alertes. A défaut  d’une anticipation suffisante, on ne mesure pas le risque, donc  les pertes à venir. Enfin, la formation est  cruciale,  y compris  sur un aspect comportemental.

Le chiffrage des pertes annuelles dues à une mauvaise gestion  contractuelle, et à la non  maitrise de la responsabilité civile,  est colossal. Le seul poste des  TS impayés annuellement est un scandale pour les PMEs, sans  arrêt  abusées dans leur bonne foi  d’exécutants.

La bonne foi  n’exclut pas une  totale vigilance, bien au  contraire. La  mise en place d’une meilleure performance contractuelle contribue immédiatement à redresser la barre, et à préserver les résultats  attendus, ce que l’entreprise peut constater rapidement .

Pourquoi  croyez-vous  que les grands  groupes  sont aussi engagés dans ce domaine, –  si ce n’est pour améliorer leurs  résultats ?

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Aujourd’hui, je peux dire qu’il y a eu surtout une sensibilisation des équipes au fait qu’il peut y avoir des façons de faire insatisfaisantes ; que cette insatisfaction qu’ils ressentent peut être partagée ; – et nous savons maintenant que nous ne sommes pas obligés de nous contenter de ces états de fait, et de rester sur cette insatisfaction.

Certains modes de travail ont évolué,  même si c’est difficile à mesurer. Mais je dirais surtout que ce sont les états d’esprit qui ont évolué, et qu’une dynamique de groupe s’est instaurée et a commencé à changer les mentalités. Nous en voyons les fruits depuis, sans conteste.

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Afortech est là pour vous accompagner dans cette démarche d’optimisation de vos coûts et de contrôle contractuel

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Afortech est là pour bâtir avec vous, sur mesure, le plan d’intervention et de formation qui vous convient.

Que ce soit pour un diagnostic ou un audit, organisationnel ou contractuel, nous pouvons construire ensemble un plan d’action qui mêle à la fois le conseil, la formation et le coaching : soit sur une problématique de Lean Construction, revisitant vos modes de travail ; soit sur une approche de protection contractuelle, avec les bonnes pratiques juridiques à connaître pour se protéger sur les marchés.

Pour vous inscrire ou pour plus d’informations sur les modules de formation, votre contact est : Céline Robin Massé, 0140551434, crobinmasse@afortech.com

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En savoir plus  sur comment « Optimiser son organisation et ses méthodes avec le Lean Construction » ? Cliquez sur l’image ci-dessous.

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Prévenir les risques juridiques sur les chantiers du BTP, c’est sécuriser ses affaires !

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Interview de Sylvie Verniole Davet : connaître et anticiper les risques juridiques d’un chantier du Bâtiment, c’est en préserver la santé !

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Sylvie Verniole Davet est Avocate à la Cour d’Appel de Paris depuis 1995. Elle est également Médiatrice. Elle assure enfin des formations en Droit de la Construction et de l’Immobilier, auprès d’Organismes de Formation, dont Afortech avec qui elle a un partenariat depuis plus de 10 ans.

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Q – Quels sont les risques juridiques qu’encourent le plus souvent les entreprises du Bâtiment, dans la vie quotidienne d’une affaire ?

R – Avant de parler des risques juridiques en tant que tels, la formation qui a été créée par Afortech est partie d’une démarche volontariste : comment accompagner les entreprises pour qu’elles sécurisent leurs chantiers dans le cadre de l’exécution des travaux ? Nous nous sommes posés la question : comment un Chef d’Entreprise peut-il éviter qu’un Maître d’Ouvrage refuse une réception, pour ne pas solder son prix en fin de travaux.

Par exemple : comment l’entreprise peut-elle protéger, lors de la négociation d’un contrat, les clauses susceptibles par la suite d’ impacter sa rentabilité ? Comment l’entreprise peut-elle éviter les risques en matière de réception ou de sous-traitance ? Partis d’un certain nombre de constats comme ceux-ci, nous avons décidé de créer une formation autour de l’identification et de la maîtrise des risques juridiques.

Les formations que nous avons montées portent donc sur :

– les clauses essentielles d’un contrat, pour éviter que l’entreprise garde son affaire saine
– la sous-traitance
– les conditions juridiques de l’exécution d’un marché privé et d’un marché public
– la réception des travaux
– le risque pénal encouru par un Chef d’Entreprise

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Q – Quelles sont les raisons pour lesquelles une entreprise peut être impactée dans ses affaires, du fait de risques juridiques ?

R – Lors de l’exécution d’un chantier, il y a par exemple le sujet des travaux supplémentaires que le Maître d’Ouvrage ne veut pas payer. Pourquoi ? Comment faire pour que l’entreprise puisse en avoir le paiement ? Il y a aussi, lors de la négociation d’un contrat, la question de quelles sont les clauses qui peuvent impacter l’entreprise ? Et notamment, comment négocier les pénalités de retard ? A quelles dispositions doit-on prendre garde, pour que le Maître d’Ouvrage ne rajoute pas un préjudice aux pénalités de retard ? Que faire lorsque le Maître d’Ouvrage refuse de réceptionner le marché et confond les réserves avec les désordres de la GPA ?

Q – Quels sont les profils les mieux à même de tirer profit de ces formations sur les risques juridiques ?

R – Ces formations sont destinées à tous les collaborateurs de l’entreprise : les chefs de chantier, les chargés d’affaire, les conducteurs de travaux, les assistant(e)s, ainsi que le chef d’entreprise. Elles ont été créées en fonction du profil des stagiaires. Les chargés d’affaire seront formés davantage sur l’exécution d’un marché, et sur la partie commerciale vs juridique. Les assistants ou les directeurs étudieront davantage la partie administrative. Comment répondre à un courrier d’un Maître d’Ouvrage ou d’un Maître d’ Oeuvre, avec quel formalisme. Bref, ces formations sont complètement adaptées à leurs buts. L’idée étant d’éviter aux PMEs d’ouvrir des dossiers de réclamation dès le début d’un chantier … ; mais plutôt de les aider à identifier les pièges à éviter et sinon, à trouver comment y remédier.

Q – Quelles sont les bases juridiques qu’il est important d’acquérir, d’après vous, aux différents niveaux d’une entreprise ?

R – L’idée est de donner aux stagiaires une culture juridique, une sensibilisation à la matière juridique, pour qu’ils puissent protéger les droits de leur entreprise. Ils apprennent à trouver les réponses, et à les exploiter auprès de leurs différents interlocuteurs au cours de la vie d’un chantier.

Q – Pouvez-vous nous illustrer l’intérêt de ces formations par quelques exemples d’entreprises qui ont fait la démarche d’organiser ces formations juridiques avec vous-même et Afortech ?

R – Le Groupe Fareneit (génie électrique, thermique et climatique), à l’initiative de la DAF Nadia Thibaud et de Christophe Puga,  a décidé de faire faire une formation juridique sur mesure pour tous ses collaborateurs, en fonction de leurs profils (voir encart).

De même,  je suis intervenue chez l’entreprise Acorus (services en bâtiment, maintenance, rénovation et réhabilitation) sur les risques juridiques en matière de marchés publics, au niveau de l’appel d’offres jusqu’à l’exécution.

Enfin, entre tellement d’entreprises, nous avons l’exemple de l’entreprise UTB, où tous les collaborateurs ont été formés sur le sujet du risque pénal (sous-traitance et accidents sur les chantiers), en démarrant par les dirigeants.

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Expérience Client : celle de Christophe Puga, Directeur Général du Pôle Electricité du Groupe Fareneit (Setelec et Heliom).

Nous avons réfléchi à une formation sur les risques juridiques pour sensibiliser nos PMEs qui reposent le plus souvent sur une structure avec un Directeur, des Chargés d’Affaires et des Assistant(e)s.

Nous nous sommes rendus compte que pour nos contrats de maintenance ou nos travaux d’installation, nous avions besoin, selon les niveaux, d’une base juridique et d’ indications venant d’avocats experts pour nous prémunir des risques de contentieux. Pour les Directeurs, d’ une compréhension des risques pénaux du Chef d’entreprise. Et pour les Assistant(e)s, nous voulions une formation pour qu’ils/elles sont capables de s’assurer, au moment de la signature d’une affaire, que l’ensemble des documents contractuels importants soient recueillis et les bonnes informations comprises. Et pour les Chargés d’affaires, qu’ils soient capables d’alerter à temps en cas de risque de litiges.

Nous avions peu de contentieux, mais vu le développement rapide des entreprises, la croissance du Groupe et la multiplication des Chargés d’affaires, nous voulions rappeler les bonnes pratiques aux Directeurs et former les Responsables d’affaires qui ne l’avaient pas été.

Nous avons travaillé avec Afortech à bâtir une formation sur-mesure, tout à fait adaptée à notre fonctionnement, à nos métiers et à notre activité. Nous avons fait du cousu-main, dans trois grands pôles :

  1. d’abord un volet adapté aux Directeurs, sur le risque pénal des dirigeants, et les bonnes pratiques pour éviter les contentieux. Les enjeux liés à la sous-traitance, à l’intérim, aux travailleurs détachés, les obligations en matière d’hygiène et de sécurité, la traçabilité de l’information.
  2. ensuite un module de terrain pour les Responsables d’affaires, avec un distinguo entre les Chargés d’affaires orientés maintenance, en charge d’un contrat ; et les Chargés d’affaires orientés travaux, en charge souvent d’opérations avec de multiples corps d’état, les relations entre corps d’état, les maîtres d’oeuvre et les maîtres d’ouvrage, les problématiques de réception, de sous-traitance, de garantie, de paiement, de rédaction d’un compte-rendu de chantier. L’idée étant qu’ils sachent au final alerter leur Directeur en cas de dérapage du chantier.
  3. Enfin un module pour les Assistant(e)s orienté administratif, qui nous a amené à définir une check-list à parcourir à l’ouverture d’un chantier ou à réception d’un contrat, avec tous les documents à récupérer et à contrôler, etc.

Cette formation s’est déroulée par petits groupes, sur environ un an. Aujourd’hui qu’elle est terminée, en terme de feedback, nous pouvons dire que nous avons reçu des retours très positifs des équipes sur l’utilité et la qualité de la formation délivrée par Afortech, comme très adaptée à leurs fonctions et à leurs métiers, et avec des échanges très intéressants avec les intervenants, notamment avec Maître Verniole Davet.

Nous avons toujours peu de contentieux, ce qui est un signe très positif pour un Groupe qui fait aujourd’hui 36 Millions de CA et qui s’est développé rapidement ces dernières années. Cette formation a fait du préventif, non du curatif, et nous nous en félicitons. Il nous faudra maintenant continuer des piqûres de rappel pour les nouveaux arrivants. Mais globalement, cette formation a été particulièrement bénéfique à nos PMEs, reprenant le meilleur des grands groupes et l’adaptant à nos structures.

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Les formations standard d’Afortech sur la prévention juridique : renseignez-vous auprès de Laetitia Courbaron au  01 40 55 14 26 !

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En savoir plus : regardez la fiche « Sécuriser ses affaires de l’appel d’offre à la réception des travaux »


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Réforme de la formation professionnelle : impacts et perspectives

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Claire Broussart
Présidente d’Afortech
DRH d’UTB

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Catherine Saudecerre
Directrice d’Afortech

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Une année 2017  dominée par les besoins de formation réglementaires,
mais  aussi par l’innovation pour mieux accompagner les entreprises

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1. Quels ont été pour Afortech les résultats les plus significatifs  pour cette année 2017, en terme de domaines de formation les plus demandés par les entreprises ?

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Claire Broussart (CB) : Nous avons organisé surtout des formations obligatoires et réglementaires, souvent liées à la sécurité. Il s’agit là de la principale  préoccupation des entreprises, qui doivent avant tout former leur personnel selon les réglementations toujours plus nombreuses qui concernant leurs métiers. Les formations de base, les recyclages dans ces domaines sont le socle de l’activité d’Afortech.

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Catherine Saudecerre (CS) : Auparavant venaient en tête les formations techniques, notamment dans le génie climatique. Mais peu à peu, la sécurité et la prévention ont pris de l’essor, pour représenter à elles seules 60 % des stages délivrés en 2017.

Ceci dit, les formations techniques arrivent en volume de stages en deuxième position, elles qui représentent le coeur de métier des entreprises : comme par exemple la régulation en génie climatique, s’initier à la plomberie, etc.  : depuis l’initiation, la mise en oeuvre, la maîtrise technique des installations, jusqu’à la conception.

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2. Quels nouveaux vecteurs de formation avez-vous développés l’année dernière, et quel bilan en tirez-vous ?

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CS : Nous avons innové en 2017 en démarrant des prestations de coaching et de conseil. Nous avons travaillé en partenariat avec les OPCA pour leur trouver des financements. On a élargi la notion de formation, pour promouvoir de nouveaux formats contribuant toujours au développement des compétences. Le conseil proposé est ainsi un accompagnement de l’entreprise pour qu’elle progresse dans un domaine particulier, qui n’est pas forcément son coeur de maîtrise.

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CB : Ce bilan de carrière peut permettre de fidéliser les meilleurs salariés à l’entreprise en leur donnant des perspectives en interne. Notamment dans le contexte actuel de « chasse » aux Chargés d’affaires et aux Techniciens d’ Etudes… Dans cette période de relance des affaires et des carnets d’activité, il y a actuellement un véritable « mercato », avec une surenchère sur les salaires, ciblant les meilleurs… Une entreprise peut retenir ses compétences clés par des actions managériales, mais aussi par des formations s’intéressant à leur développement professionnel. Avec ma casquette de DRH d’UTB, je peux témoigner du grand intérêt pour l’entreprise et pour les professionnels d’une telle démarche.

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A cet égard, Afortech s’est montré précurseur et innovant, notamment quand on voit les directions prises par la réforme actuelle de la formation professionnelle. Nos cibles : le dirigeant entrepreneur, mais pas seulement. L’encadrement au sens large, les managers, les chargés d’affaires peuvent être parfaitement intéressés par ce type d’approche.

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Par exemple : l’offre « Bilan de carrière », née de la précédente réforme de la formation, peut aider les entreprises dans les entretiens de bilan, pour décider de l’évolution professionnelle du salarié, ou pour envisager son éventuel reclassement.

CS : L’année 2017 a également été marquée par le développement des stages longs certifiants et qualifiants : par exemple la formation de Chargé d’Affaires, représentant environ 400 heures sur un an. Ou celle des Agents de Maintenance (200 à 300 heures). Ce sont par exemple des stages pour savoir gérer des affaires, faire du chiffrage, préparer des chantiers et les suivre, jusqu’à la livraison du chantier et des interventions. Ces stages bénéficient d’ailleurs d’une bonne prise en charge des OPCAs.

Enfin, nous avons cette année revisité notre site internet pour le rendre plus interactif et plus attractif pour nos clients : ainsi les recherches de stages peuvent avoir plusieurs entrées, selon le profil du demandeur. Nous avons également créé une page d’ Actualités, dans laquelle sont débattus et commentés chaque mois les sujets importants du moment. En un an, nous avons eu environ 10 000 visiteurs ! Le rayonnement d’Afortech s’est clairement accru.

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3. Que diriez-vous qui distingue Afortech actuellement des autres organismes de formation dans la profession ?

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CB : Spontanément, je dirais qu’Afortech comprend les métiers, et leurs secteurs d’activité. C’est un organisme de formation professionnelle proche des entreprises et de leurs besoins. Il peut également faire soit du sur mesure, soit de la personnalisation par rapport aux métiers. Le plus d’Afortech, c’est vraiment sa connaissance de ses clients, sa connexion au terrain, et peut-être surtout sa grande réactivité aux demandes et la finesse de ses réponses. C’est également un partenaire reconnu des entreprises, mais aussi des organismes de financement de la formation professionnelle.

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CS : je dirais également que la spécificité d’Afortech est sa capacité à avancer des fonds de financement des stages de formation à ses clients, ce qu’on appelle la subrogation de paiement. C’est d’ailleurs un des rares organismes de formation à proposer ce service aux PMEs, selon certaines conditions bien entendu. C’est dû au fait qu’Afortech travaille en partenariat étroit avec les organismes de financement (OPCA : Constructys, etc.).  Ce service est très apprécié des petites entreprises …  Afortech s’occupe également de tout le suivi administratif et de la logistique des stages : c’est un atout indéniable !

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Réforme de la formation professionnelle : une opportunité d’ouvrir le champ des possibles en matière de formation

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1. Quels vont être d’après vous les impacts de la nouvelle réforme de la formation  professionnelle sur Afortech cette année ?

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CB : L’année 2018 va nous permettre de préparer et de mettre en oeuvre cette réforme majeure de la formation professionnelle pour 2019. Par optimisme naturel, je considère que le gouvernement a fait un pas vers plus d’efficacité, de transparence, d’accès à la formation pour tout le monde : pour que chacun se saisisse de sa propre formation et de son parcours professionnel.

CS : Cette réforme vise à regrouper une majorité des fonds pour les demandeurs d’emploi. De plus elle veut mettre les compétences au coeur du développement professionnel, – et la formation au coeur du développement des compétences, ce qui est très intéressant. Afortech est en adhésion totale avec cette approche. Maintenant au nom de la simplification, les processus vont changer, le gouvernement se mettant au centre des financements et les organismes de financement devenant des opérateurs de compétences. Les demandeurs d’emploi, les TPEs et les petites PMEs vont être les grands gagnants de cet effort de formation, au détriment peut-être des financements qui s’adressaient traditionnellement aux entreprises de plus de 50 salariés, qui devront financer eux-mêmes leur plan de formation.

CB : le CPF (Compte Personnel de Formation) est également un outil prépondérant pour les salariés, qui devront se saisir de leur propre projet. Aux entreprises d’accompagner leur personnel dans cette démarche. Les questions encore ouvertes concernent le type de formations proposables aux salariés dans le cadre de leur CPF. La réforme, fondamentalement, ne peut être que positive dans ses buts : le développement des compétences par la formation professionnelle devient l’outil des entreprises pour soutenir leurs performances. Ce qui est un changement profond par rapport à aujourd’hui, où la formation professionnelle est encore vue comme une contrainte réglementaire bien souvent. Il y a aussi une volonté que les organismes de formation deviennent plus réactifs, quelle que soit leur taille, et qu’ils collent plus aux besoins des entreprises.

CS : Cette réforme met également en face des organismes de formation de nouvelles cibles : non plus seulement les entreprises, mais les salariés eux-mêmes par leur CPF. Afortech a d’ailleurs anticipé cette évolution avec son site internet qui permet à ses demandeurs de multiples recherches selon leurs besoins. Les salariés sont vraiment un vecteur important, et les offres évolueront en conséquence.

[/fusion_text][/two_third][two_third last= »no » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]

CB : Les innovations en matière de formation vont devenir très importantes, et dans un proche avenir. Nous allons devoir nous mettre au Digital Learning, et repenser certainement certaines démarches pédagogiques.

CS : Le tutorat sur le terrain, c’est-à-dire le partage collaboratif, ainsi que le coaching individuel, vont entraîner avec la digitalisation des formations, un nouveau maillage entre les entreprises et les organismes de formation.

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2. Quels sont pour vous les enjeux 2018 / 2019 pour un organisme de formation comme Afortech ?

[/title][/one_third][separator style_type= »single » top_margin= »20px » bottom_margin= »20px » sep_color= » » border_size= »1px » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][two_fifth last= »no » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][imageframe lightbox= »yes » gallery_id= » » lightbox_image= » » style_type= »dropshadow » hover_type= »none » bordercolor= » » bordersize= »0px » borderradius= »0″ stylecolor= » » align= »center » link= » » linktarget= »_self » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » hide_on_mobile= »no » class= » » id= » »] [/imageframe][/two_fifth][three_fifth last= »yes » spacing= »yes » center_content= »yes » hide_on_mobile= »no » background_color= »#f4f4f4″ background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= »solid » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][title size= »3″ content_align= »left » style_type= »default » sep_color= » » margin_top= »25px » margin_bottom= »5px » class= » » id= » »]

Les grandes tendances du Digital Learning : une ouverture passionnante vers l’innovation pour les années à venir !

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1. Vos clients vous ont-ils déjà exprimé leurs attentes ou leurs besoins en matière de Digital Learning ?

[/title][/one_third][two_third last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]

CS : Oui absolument, certains de nos clients sont en attente de nouvelles offres pédagogiques, avec de nouveaux formats. Par exemple, dans le domaine des Achats, il y a une demande qu’un Expert puisse transmettre les bonnes pratiques en prévention sécurité pour l’intérim, et aussi sur la réglementation. Un format digital par « capsules animées » serait porteur.

[/fusion_text][/two_third][one_third last= »no » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][title size= »4″ content_align= »left » style_type= »default » sep_color= » » margin_top= » » margin_bottom= » » class= » » id= » »]

2. La réforme de la formation professionnelle est clairement une opportunité pour un organisme de formation pour accompagner le tournant du Digital Learning : comment voyez-vous cette transition s’opérer ?

[/title][/one_third][two_third last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]

CB : Il y a beaucoup de curiosités sur le sujet, et les entreprises sont certainement en attente de propositions par Afortech dans ce domaine. Les entreprises se digitalisent dans leurs propres métiers. Afortech se doit donc de les accompagner dans cette démarche. La dématérialisation de la CAO et des processus commerciaux est déjà très importante. Chez UTB, la transformation numérique dans le bâtiment est en marche, et la jeune génération ne comprendra pas que les entreprises pour lesquelles ils travaillent ne leur proposent pas aussi un type de formation plus innovant et plus digital qu’aujourd’hui.

[/fusion_text][/two_third][one_third last= »no » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][title size= »4″ content_align= »left » style_type= »default » sep_color= » » margin_top= » » margin_bottom= » » class= » » id= » »]3. Quels impacts à court et à moyen terme pensez-vous que les nouveaux formats digitaux et les approches pédagogiques innovantes vont apporter à Afortech en tant qu’organisme de formation ?[/title][/one_third][two_third last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]

CB : Afortech saura s’adapter aux nouveaux formats digitaux, dès lors que les besoins de ses clients sauront se préciser. C’est d’ailleurs son rôle en 2018 d’aider les entreprises de ces professions à réfléchir à leurs nouvelles attentes et à la façon dont elles veulent évoluer.

CS : Déjà aujourd’hui des appels d’offres sont à faire en BIM (Building Information Management). La transition numérique a démarré, à nous tous de savoir sauter dans le bon wagon ! Cette digitalisation va certainement à terme changer nos métiers, et en faire évoluer les dimensions temporelles et pédagogiques. C’est incontournable et passionnant.

[/fusion_text][/two_third][separator style_type= »none » top_margin= »20px » bottom_margin= »20px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »]

Petit-déjeuner au Club des Entrepreneurs le mardi 29 mai à 8h 30 : « Comment gagner des points de marge ? »

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Avancée de la Transition Numérique : un processus inéluctable pour les entreprises du Bâtiment !

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Colloque « La Transition Numérique du Bâtiment » du 13 février 2018, au Club des Entrepreneurs :

[/title][/one_half][one_half last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][separator style_type= »none » top_margin= » » bottom_margin= »15px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][title size= »3″ content_align= »left » style_type= »default » sep_color= » » margin_top= » » margin_bottom= » » class= » » id= » »]

Un riche partage d’expériences, et un constat d’évidence : le BIM est déjà là, et il s’agit de bien plus que de Transformation Digitale !

[/title][/one_half][one_half last= »no » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][imageframe lightbox= »yes » gallery_id= » » lightbox_image= » » style_type= »dropshadow » hover_type= »none » bordercolor= » » bordersize= »0px » borderradius= »0″ stylecolor= » » align= »none » link= » » linktarget= »_blank » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » hide_on_mobile= »no » class= » » id= » »] [/imageframe][/one_half][one_half last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]

D’après une étude de Vérizon, on aura dans le Bâtiment en 2019 25,6 milliards d’objets connectés ; les IoT (Internet of Things) seront passés en valeur de 2014 à 2021 de 9,7 à 30 milliards d’Euros.

SmartHome, SmartCity, les mesures de l’eau, du chauffage, de la climatisation, de la ventilation : depuis 3 ans, les 3 majors que sont Engie, Dalkia-Cram et Idex déploient par dizaines de milliers d’unités des sondes autonomes à basse énergie, qui remontent des données par réseaux radio bas débit, vers des applications qui les exploitent en supervision sur le Cloud ou bien en mode Big Data …

Bref la rupture technologique est déjà bien avancée ! Depuis plusieurs années, les Maîtres d’ouvrage que sont les collectivités locales, la Ville de Paris, et de grands bailleurs sociaux, exigent une approche BIM et une maquette numérique. Et tant d’autres…

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Le BIM est partout : dans la construction, mais aussi maintenant dans la maintenance et la GMAO : suivi énergétique, systèmes d’alertes en cas de pannes ou de surconsommation, géolocalisation, etc. L’objet pousse vers l’humain, pour que l’humain intervienne. La maquette numérique (BIM) (synthèse d’un plan 3D toujours à jour et modélisé à base d’objets numériques) pose le projet, portée par l’Architecte et le Bureau d’ Etudes, puis alimente la GTB (Gestion Technique du Bâtiment) pour tous les corps de métier pendant la construction, et sert de base ensuite à la maintenance prédictive.

On le voit : le BIM est bien plus qu’un passage au tout numérique dans le Bâtiment. C’est avant tout un nouveau processus de travail collaboratif entre tous les acteurs et autour d’un projet virtuel, avant même de poser la première dalle de béton.  C’est ensuite une maquette numérique en 4D (3D et la dimension du Temps), et enfin un logiciel qui l’exploite (Revit 80 % aux USA, 65 % en Europe ; Allplan en Allemagne, Magicad en France, et Bentley aux USA).

Mais le BIM et l’utilisation systématique de la maquette numérique devra encore faire la preuve que leur principal intérêt est de faire gagner du temps et de l’argent aux Maîtres d’Ouvrage et aux Maîtres d’Oeuvre ; ainsi que de simplifier l’alignement des chantiers aux contraintes réglementaires. Il faudra encore du temps pour que tous s’y mettent, que la culture d’exploitation change, que les compétences de tous s’élèvent, que les processus de travail s’ouvrent. Pourtant tous le comprennent aujourd’hui : tout le monde y a intérêt à terme ! Rappelons ces chiffres si nous n’en sommes pas encore persuadés :

  • 80 % des chantiers ont du retard
  • 40 % des chantiers dépassent leur budget initial
  • la construction génère 48 milliards de déchêts
  • les utilisateurs de Revit et Autodesk se multiplient par 2 tous les 6 mois

Les efforts porteront dans le futur proche vers la qualité de la synthèse finale numérique, attendue par tous ; puis vers une organisation différente de l’exploitation (Conception – Etudes – Modélisation – Réalisation) ; et des méthodes de travail collaboratives complétement nouvelles. La marche est engagée depuis des années, le processus est inéluctable ! La question qu’il faut se poser maintenant est : quand et comment je rejoins le mouvement …[/fusion_text][/one_full][one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= »#f2f2f2″ background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= »#1e73be » border_style= »solid » padding= »20px » margin_top= »10px » margin_bottom= »5px » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]Présentation de Dominique Naert, Consultant Expert BIM : « La Transition Numérique dans le Bâtiment »
Présentation de Nathalie Falise, Formatrice Experte BIM : « le BIM, définir les besoins en formation »[/fusion_text][separator style_type= »none » top_margin= » » bottom_margin= »30px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][/one_full][one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »1px » border_color= »#00508b » border_style= »solid » padding= »10px » margin_top= »10px » margin_bottom= »10px » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][title size= »2″ content_align= »left » style_type= »default » sep_color= » » margin_top= » » margin_bottom= » » class= » » id= » »]

Interviews de Dominique Naert et de Nathalie Falise  : quelle est la réalité du BIM aujourd’hui dans les entreprises du Bâtiment ?

[/title][/one_full][fusion_text]

Q – D’après vous, quels sont les principaux facteurs bloquants pour une PME à se lancer aujourd’hui dans l’aventure de la Transition Numérique ?

R – Dominique Naert : Je pense que la première chose pour une entreprise est de comprendre les enjeux. Arriver à saisir les choses. Tant que cela reste théorique, les gens n’arrivent pas comprendre ce qu’est le BIM. Egalement, le fait que ceux qui font du BIM, les informaticiens, sont des gens d’un autre monde avec un autre langage : les gens du Bâtiment n’arrivent pas immédiatement à les comprendre. Enfin, tout cela leur parait trop ambitieux, futuriste, pour ne pas risquer de perdre la main.

R – Nathalie Falise : je dirais que les principaux freins identifiés et qui reviennent de façon récurrente, c’est d’abord l’investissement financier sur l’outil. Mais on peut répondre à ça que quand il y a de nouveaux outils techniques sur le chantier, on doit bien investir pour les utiliser. Ensuite le temps demandé pour la formation et l’adaptation à ces nouveaux outils. Enfin les préjugés, comme « ce n’est pas pour aujourd’hui », « on en est encore loin », je ne vois pas pourquoi ça changerait car aujourd’hui ça marche bien comme ça » … En fait, la difficulté essentielle est la résistance au changement, de sortir de sa zone de confort, – et honnêtement le monde de la construction aujourd’hui vit vraiment un bouleversement, non pas de métier, mais de méthode. Ca va donc demander du temps … Il y a six ans, j’ai voulu implanter une application de suivi de chantier sur un de mes projets, et je me suis entendue dire textuellement « attends encore 15 ans »… Aujourd’hui on commence à me demander comment ça marche. Les professionnels comprennent que leur employabilité est en jeu.

Q – A contrario, que peut-on dire à un Dirigeant d’Entreprise qui le motive à s’y mettre ?

R – Dominique Naert : il y a deux choses positives. La première est que tous les Maîtres d’Ouvrage vont demander le BIM, le marché va pousser la demande. Notamment avec la RE  2020 (Réglementation  Environnementale) où il faudra faire des simulations pour pouvoir déposer les permis de construire, il est évident que tous auront un intérêt à s’y mettre. La deuxième chose, c’est d’arrêter de gaspiller du temps sur les chantiers. Que ce soit avec le BIM ou avec le LEAN, l’optimisation de la productivité va être à l’ordre du jour, parce qu’il est évident que cela apporte de la valeur ajoutée à l’entreprise.

R – Nathalie Falise : je compléterais en disant que ces nouvelles méthodes vont attirer les jeunes vers les métiers de la construction. En utilisant des outils auxquels ils sont familiers, c’est une façon indéniable de redorer le blason de nos métiers qui ont été galvaudés. Cela les revalorise. De plus, on est toujours dans une recherche d’amélioration continue, et nos métiers en ont besoin. L’image de la profession va vraiment prendre un coup de jeune et de neuf. Et je crois énormément aux échanges inter-générationnels que cela va engendrer !

Q – A votre avis, l’avancée du BIM va-t-elle faire émerger de nouveaux métiers dans le Bâtiment ?

R – Dominique Naert : je ne dirais pas de nouveaux métiers, mais des métiers un peu différents. C’est-à-dire les métiers vont être impactés par le digital ; ou encore nous allons voir arriver des « digitaliciens » … Par exemple, en Allemagne, on a inventé le « travailleur cognitif ou 4.0 ». Grosso modo, demain nous aurons des travailleurs hybrides, c’est-à-dire à double, triple ou quadruple compétences : capables à la fois d’être sur le chantier et à la fois interfacer le bureau d’études ; à la fois être compétent en numérique et à la fois avoir une vraie spécialisation professionnelle.  Pour moi le BIM Manager est un métier provisoire, qui vient aujourd’hui coordonner la complexité des outils. Mais quand le niveau 2 du BIM sera vraiment répandu, avec des acteurs capables de travailler de façon collaborative en BIM, nous n’aurons plus besoin de lui : ce sera alors sans doute l’Architecte qui prendra pleinement le lead du projet.

Q – Quelles innovations pédagogiques voyez-vous accompagner cette avancée du BIM ? Parlez-nous notamment des leçons que l’on peut tirer de l’expérience allemande, svp.

R – Dominique Naert : le processus d’apprentissage allemand, ou suisse aussi d’ailleurs, est une formation duale. 4 jours en entreprise + 1 jour en centre de formation, et ce toutes les semaines.Ceci pendant deux, trois, voire quatre ans. Ensuite les jeunes ont la possibilité d’accéder aux hautes écoles supérieures de formation, c’est-à-dire des IUTs très concrets. Ce système permet de se confronter à la pratique et à la théorie à la fois. Notre réforme actuelle de l’apprentissage s’inspire d’ailleurs beaucoup des systèmes allemands et suisses. C’est l’entreprise qui reprend le leadership de la formation du jeune. Quand on voit l’évolution technologique du métier, c’est sur le terrain que se font les apprentissages des nouvelles technologies. Il faut dire qu’en Allemagne, le BIM est obligatoire actuellement dans la construction …

R – Nathalie Falise : en termes de pédagogie, le fait d’animer des formations sur un mode interactif et ludique en incluant l’utilisation des outils numériques (outils utilisés quotidiennement dans notre vie malgré tout), peut  aider à donner l’envie d’apprendre. On traite ainsi du sujet de la transition numérique sans créer de blocage et sans résistance.

R – Dominique Naert : c’est ce qu’on appelle de la pédagogie inversée : on donne aux jeunes tous les moyens numériques, et à eux de se les approprier. On s’assure que la base est bien comprise, et on progresse de façon modulaire. C’est un peu ce que dit d’ailleurs Cedric Villani pour l’apprentissage des mathématiques : c’est exactement ce qu’il faut faire pour la transition numérique !

[/fusion_text][one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= »#44a12b » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= »solid » padding= »20px » margin_top= »20px » margin_bottom= »10px » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]Trois nouveaux stages sont proposés par Afortech :

Sinon, tous les cours autour du sujet : en savoir plus[/fusion_text][/one_full]

Petit Déjeuner du lundi 12 mars à 8h 30 au Club des Entrepreneurs : « Amiante, se réconcilier avec la réglementation »

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Pénurie de Conducteurs de Travaux en Ile de France : comment y remédier ?

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Le bâtiment veut tourner définitivement la page de la crise. Les signes de reprise sont là, la croissance semble se dessiner, mais il semble que les entreprises du BTP sont maintenant confrontées à une crise de la main-d’œuvre. Le secteur du bâtiment, des travaux publics, du second oeuvre, après avoir dû affronter une crise économique dont il se relève peu à peu, sera-t-il confronté à une impasse du recrutement ?

Le nombre de postes non pourvus dans le BTP actuellement et qui devrait croître dans les mois à venir, commence à représenter une véritable inquiétude pour les chefs d’entreprise. Et plus particulièrement les postes d’encadrement de chantier : les chefs d’équipe, les chefs de chantier, et les conducteurs de travaux, – bref les métiers qui deviennent de plus en plus complexes avec l’évolution des techniques. « On manque de chefs de chantiers, de conducteurs. Les entreprises commencent à se piquer les gars entre elles », souligne un chef d’entreprise sur Paris.

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Témoignage de Mr José Miguel, Directeur du CFPCT de Toulouse

Mr José Miguel est Directeur au CFPCT (Centre de formation du BTP Toulouse). Pour lui, les métiers d’encadrement de chantier offrent de riches opportunités d’évolution pour un professionnel plein de potentiel. Il répond ici à quelques-unes de nos questions : en savoir plus

[/fusion_text][/one_third][one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]

Par ailleurs, deux grands évènements font office d’appel d’air pour ces métiers :
le gigantesque chantier du Grand Paris, tout d’abord : à lui seul, le Grand Paris devrait générer 1 point de croissance supplémentaire dans les travaux publics cette année. Plus de 4 000 salariés travaillent actuellement sur ces chantiers. Ils devraient être 28 000 en 2020, estime la FNTP ! Soixante-huit nouvelles gares : le Grand Paris Express, initié en 2007 par l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, cumule beaucoup de superlatifs. C’est le plus grand projet d’infrastructures en Europe et le quatrième au monde, derrière trois ouvrages chinois. « Pour un conducteur de travaux, pour un ingénieur du bâtiment, c’est le genre de chantiers que l’on ne rencontre qu’une fois dans sa vie », résume Xavier Huillard, le PDG de Vinci. Quelques chiffres suffisent à en mesurer l’ampleur. Au total, 205 kilomètres de tunnels doivent être construits d’ici à 2030, avec quatre lignes de métro supplémentaires, deux extensions et 72 gares desservies, dont 68 nouvelles. Mais l’économie du projet va bien au-delà des seuls investissements dans les transports. La chambre de commerce de Paris-Île-de France évalue l’ensemble des retombées à une centaine de milliards d’euros, si l’on tient compte notamment des dizaines de milliers de logements qui vont être construits aux dernières normes environnementales. Une quarantaine de gros chantiers vont être lancés dans les prochains mois. Les Chefs d’équipe, les Chefs de chantier et les Conducteurs de travaux vont être la pièce maîtresse du recrutement : car on sait bien que le succès des chantiers est étroitement lié à la qualité des cadres du métier ;  le respect des délais, la qualité de la réalisation et le maintien de la marge en dépendent !

le grand défi des Jeux Olympiques 2024, ensuite : bien que le dossier de la candidature parisienne assure que « 95 % des infrastructures existent déjà », il reste beaucoup à construire. Notamment le village olympique, qui représente à lui seul un marché de 800 millions d’euros. Dans ce cadre, les services publics seront à la recherche de personnel dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Ingénieurs, mais aussi artisans, ouvriers spécialisés et surtout chefs d’équipes et conducteurs de travaux devraient trouver du travail sans difficulté. Et les salaires risquent de monter pour s’arracher les bons profils !

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Si les métiers de l’artisanat du bâtiment ont souffert de la crise de 2013/2016, ceux de l’encadrement et la gestion de chantier au sens large continuent à bénéficier de beaux débouchés, notamment dans les grands groupes. La preuve ? Les écoles spécialisées dans la construction vont augmenter leurs effectifs significativement : elles vont  diplômer désormais davantage de cadres du bâtiment par an, expliquant que « de nombreux chefs d’entreprises déclarent connaître des difficultés pour trouver le personnel qualifié dont ils ont besoin. »

Conducteur de travaux, chef de chantier : des métiers en tension. A la sortie de l’école, les jeunes ingénieurs débutent en général sur des postes de conducteur de travaux, véritable manager qui doit gérer à la fois les budgets, les sous-traitants, les équipes de chantier et les délais. Mais ces jeunes ingénieurs n’ont encore aucune expérience du terrain, et n’ont pas forcément la crédibilité pour encadrer des groupes durs sur des chantiers complexes.

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D’après les statistiques de l’Observatoire Tendance Emploi Compétence créé par le Medef, les métiers d’ingénieur(s) du bâtiment et des travaux publics, chefs de chantier et conducteurs de travaux feraient l’objet ce trimestre en France de 3208 offres d’emplois : 989 en Ile-de-France, 484 en Rhône-Alpes, 432 en PACA, 308 en Languedoc-Roussillon, 240 en Aquitaine, 210 en Pays-de-la-Loire…  Parmi elles, plus de 1000 sont « difficiles à pourvoir » selon les employeurs, essentiellement par manque d’expérience ou de connaissance techniques du métier de la part des candidats et du fait de leur « difficultés d’expression ».

C’est là où les entreprises du BTP et du second oeuvre, notamment celles qui sont en plein développement et qui sont en train d’attraper les chantiers qui s’ouvrent, vont avoir un intérêt accru à former en interne leurs propres cadres. En identifiant leurs meilleurs professionnels, les plus compétents et ceux ayant le meilleur potentiel, elles auront la garantie de faire monter en compétences des artisans et ouvriers qui connaîtront déjà leur métier, leur environnement professionnel, et qui seront reconnaissants à l’entreprise qui aura su croire en eux. Cette nouvelle génération de chefs d’équipe, de chantier et plus tard de conducteurs de travaux seront formés à leur main, et deviendront les cadres de demain.

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Témoignage de Mr Eric Logheder, du Groupe GCC

Mr Eric Logheder est DRH du « Groupe GCC – Entreprendre ensemble autrement ». Pour lui, les métiers d’encadrement de chantier sont sous tension et chèrement demandés sur le marché du travail. Il répond ici à quelques-unes de nos questions : en savoir plus

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Tout d’abord les formations qualifiantes longues :

Afortech propose trois formations certifiantes pour les futurs conducteurs de travaux et chefs de chantiers, qui durent de 44 à 137 jours :

Ensuite les formations courtes :

Chef d’équipe : organisation de chantier ( 3 jours) : ORG-01 (nouveau)
Préparation, pilotage et gestion d’équipe (5 jours) : ORG-09

Perfectionnement conducteurs de travaux  (5 jours) : ORG-11 (nouveau)

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Pour vous aider à identifier le bon cursus, contactez Céline Robin Massé au 01 40 55 14 34 !

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Colloque « La Transition Numérique du Bâtiment » : c’est le mardi 13 février à 17h, au Club des Entrepreneurs

A l’occasion de ce colloque sur la Transition Numérique, Afortech présentera sa nouvelle offre BIM que vous trouverez très bientôt sur le site.

Objectif :  comprendre ce qui change vraiment au-delà du logiciel, s’initier ensemble en inter-entreprises , mais aussi accompagner un premier projet en entreprise…