Enquête de satisfaction client 2024
[vc_row][vc_column][vc_column_text][gravityform id= »9″ title= »true »][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
[vc_row][vc_column][vc_column_text][gravityform id= »9″ title= »true »][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
[one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= »#f8f8f8″ background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= »solid » padding= »15px » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]Afortech accompagne les entreprises et les collaborateurs pour développer les compétences fondamentales de l’encadrement d’affaires (formation Assistant Technicien d’études et de chantier).
Nous pouvons faire évoluer l’un de vos salariés, du chantier vers le bureau pour qu’il soit opérationnel, ou accompagner un futur repreneur à acquérir la culture technique et les méthodes de chiffrage et suivi d’affaires.
En 2006, 16 jeunes recevaient leur CQP (Certificat de Qualification Professionnelle) Technicien d’Étude et de Chantier en couverture et plomberie après avoir suivi un an et demi de formation avec AFORTECH. 10 ans plus tard, le quart de ces professionnels est désormais à la tête de sa propre entreprise : Frédéric DURIEZ (Sociétés LOUVRADOUX, J.BIZON & J.GONET, MORIN), Caroline AREZINA (Établissements MARIA), Vincent HORRENBERGER (Société HORRENBERGER) et Rui-Sergio HENRIQUES (PCP). Dans l’interview qui suit, trois d’entre eux, nous expliquent le rôle majeur de cette formation dans leur parcours. Ils nous livrent également leurs impressions sur le CQP Assistant Technicien de Chantier, d’une durée plus courte, pour les collaborateurs. [/fusion_text][/one_full][separator style_type= »none » top_margin= »10px » bottom_margin= »10px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][separator style_type= »none » top_margin= »10px » bottom_margin= »10px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][title size= »3″ content_align= »left » style_type= »none » sep_color= » » margin_top= » » margin_bottom= » » class= » » id= » »]Quelle que soit la formation initiale, le CQP ouvre les portes du Bâtiment[/title][fusion_text]Pouvez-vous résumer le parcours qui vous a conduit à suivre le CQP Technicien d’Étude et de Chantier d’AFORTECH ?
Frédéric DURIEZ
Après avoir obtenu mon DESS physiologie végétale, j’ai rejoint l’ESSEC en management agroalimentaire puis j’ai proposé à mon père de l’aider à concevoir le Document Unique pour son entreprise. Au début, je ne comptais pas rester travailler avec lui, mais j’ai trouvé l’univers du Bâtiment passionnant. C’est un secteur qui nous donne, entre autres, la chance de côtoyer tous les milieux sociaux et ça, c’est très enrichissant ! Ça m’a plu et on a décidé de collaborer ! C’est donc pour me familiariser davantage avec les particularités techniques du secteur du bâtiment, qui n’était pas mon métier de base, que je me suis lancé dans le CQP.
Caroline AREZINA
Après une courte expérience en école de commerce, j’ai intégré l’École Supérieure des Jeunes Dirigeants du Bâtiment pour faire mes premiers pas dans le Bâtiment, au sein de l’entreprise de mon père. J’ai ensuite enchaîné avec le CQP Technicien d’Étude et de Chantier pour avoir une approche plus technique du métier.
Vincent HORRENBERGER
Si, au départ, j’ai une formation en action commerciale, j’ai ensuite multiplié les expériences professionnelles : marketing, communication et informatique, avant de rejoindre l’entreprise familiale. J’ai alors débuté sur le terrain puis je suis entré à l’École Supérieure des Jeunes Dirigeants du Bâtiment et j’ai ensuite suivi la formation CQP car, les notions de gestion que j’avais n’étaient pas suffisamment fines pour une approche terrain.[/fusion_text][separator style_type= »none » top_margin= »10px » bottom_margin= »10px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][title size= »3″ content_align= »left » style_type= »none » sep_color= » » margin_top= » » margin_bottom= » » class= » » id= » »]Le CQP : une véritable introduction dans le monde du Bâtiment[/title][fusion_text]Vous êtes aujourd’hui dirigeant(e), en quoi cette formation a été utile pour vous mener jusqu’à cette fonction ?
Frédéric DURIEZ
Cette formation m’a permis de connaître les spécificités du métier de la couverture et de la plomberie, d’apprendre à faire des études techniques et à gérer les chantiers, en assurant leur suivi financier avec des outils analytiques. Elle apporte une légitimité dans le métier et permet d’échanger avec les différents acteurs, de parler le même langage que les compagnons… Elle a été essentielle pour connaître le métier ! C’est également l’occasion de rencontrer des confrères et d’échanger nos points de vue, nos bonnes pratiques.
Caroline AREZINA
Le CQP m’a apporté des bases techniques confortant mes connaissances professionnelles. Les intervenants abordent tous les aspects du chantier, l’étude, l’organisation, l’exécution ainsi que les parties économique, administrative et financière d’une entreprise. La rigueur est également un élément essentiel pour être compétitif. De plus, cette expérience m’a permis de rencontrer des confrères, de créer un réseau, et aujourd’hui je travaille avec certains d’entre eux. Un vrai plus !
Vincent HORRENBERGER
Le CQP m’a conforté dans l’analyse et la gestion de chantier, ce qui est primordial pour gérer une entreprise. Par ailleurs, on ne peut pas gérer une PME du Bâtiment sans connaître les aspects techniques des chantiers, sans connaître l’humain et sans savoir ce qui se passe sur le terrain. Il est important d’adapter les outils d’aujourd’hui avec les fondamentaux du métier.[/fusion_text][separator style_type= »none » top_margin= »10px » bottom_margin= »10px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][title size= »3″ content_align= »left » style_type= »none » sep_color= » » margin_top= » » margin_bottom= » » class= » » id= » »]Des CQP également adaptés aux collaborateurs[/title][fusion_text]Que pensez-vous du CQP Assistant Technicien de Chantier, version « allégée » de votre CQP ?
Frédéric DURIEZ
Ce CQP est indispensable à l’encadrement, pour faire monter lescollaborateurs en compétences ! Deux de mes collaborateurs l’ont déjà suivi et un troisième va bientôt l’achever. Mon assistante, qui ne vient pas du Bâtiment l’a suivie. Cela lui a permis de mieux comprendre les techniciens, de se lancer dans l’établissement de devis… C’est un véritable gain de temps, mais également de qualité de services puisqu’elle peut apporter rapidement des réponses techniques aux clients. Un autre profil collaborateurs est également concerné par ce CQP, il s’agit des Chefs de chantiers. L’objectif est alors de leur faire prendre du recul par rapport aux aspects purement techniques d’un chantier pour leur apporter une vision plus globale et leur faire prendre conscience des intérêts commerciaux de l’entreprise. A l’issue de cette formation, j’ai une base commune de dialogue avec eux et c’est très important !
Caroline AREZINA
Du bien ! Elle est moins longue que notre CQP, un an au lieu d’un an et demi, ce qui permet aux entreprises de franchir plus facilement le cap. Les formations constituent en effet un réel investissement et il ne faut pas se tromper en les dispensant. Une formation moins longue permet donc de prendre moins de risque, tout en gardant les grandes lignes techniques qui ont fait la force du CQP que j’ai suivi.
Vincent HORRENBERGER
Moi, ce que j’attends avant tout, c’est une formation qui permettrait au dirigeant de PME de bénéficier d’une véritable assistance administrative de gestion, pour faire le lien sur toutes les étapes de la phase de chantier, depuis l’élaboration, la réalisation jusqu’à la
réception et le suivi. Il est difficile pour une entreprise de notre taille de répondre à l’ensemble des sollicitations des clients en termes d’informations et de suivis.
La partie administrative est en effet très lourde et très chronophage. Lorsque l’on passe les 3/4 de son temps à l’extérieur, c’est très difficile à gérer, on ne peut pas avoir l’ensemble des pièces de chaque opération en tête. Ce en quoi effectivement le CQP allégé peut répondre à cette attente et améliorer la réactivité ainsi que la proximité de l’entreprise via la formation d’un(e) collaborateur / collaboratrice.[/fusion_text][/one_full]
[one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= »#f8f8f8″ background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= »solid » padding= »15px » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]L’entretien professionnel obligatoire concerne tous les collaborateurs et doit avoir lieu tous les deux ans à compter de la date d’embauche. Pour les salariés déjà en poste au 7 mars 2014, l’échéance était fixée au 7 mars 2016. Les entreprises qui ne se soumettent pas à cette obligation légale s’exposent à des sanctions pénales. Pourtant, au-delà de la contrainte, s’il est bien préparé et conduit, l’entretien professionnel peut être un acte managérial déterminant et un outil de gestion efficient pour les ressources humaines.
Pour aider les entreprises à remplir cette nouvelle obligation, AFORTECH propose un accompagnement sur-mesure, établi avec Martine COLCHEN, Consultante RH, qui nous explique la démarche dans l’interview qui suit. Jean-Michel DAO, à la tête de l’entreprise BONNET, et
Angel SANCHEZ, dirigeant de BLANCHE, ont bénéficié de cet accompagnement et témoignent de leur expérience.[/fusion_text][/one_full][separator style_type= »none » top_margin= »10px » bottom_margin= »10px » sep_color= » » border_size= » » icon= » » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » »][one_full last= »yes » spacing= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » hover_type= »none » link= » » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= » » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= » » animation_direction= » » animation_speed= »0.1″ animation_offset= » » class= » » id= » »][fusion_text]Martine COLCHEN, comment se déroule un accompagnement type sur le sujet des entretiens professionnels ?
L’accompagnement compte trois grandes étapes : l’organisation des entretiens, leur conduite et l’exploitation des données recueillies.[/fusion_text][fusion_text]En quoi consiste la première phase ?
Il s’agit d’une étape de réflexion sur la situation de l’entreprise en matière de gestion des Ressources Humaines notamment. Ce rendez-vous se déroule avec l’équipe dirigeante, Catherine SAUDECERRE et moi-même pour déterminer le contexte dans lequel s’inscrit ce processus d’entretiens professionnels. De nombreuses questions sont abordées : sur les métiers de l’entreprise, son environnement, les changements prévisibles auxquels elle doit se préparer, la pyramide des âges, la stratégie RH, l’articulation entre entretiens professionnels et entretiens annuels, la politique de rémunération, de promotion, de mobilité interne, de formation…
Ce travail préliminaire nous permet de déterminer ensemble la façon dont vont se dérouler les entretiens : période retenue, invitation et explication du[/fusion_text][fusion_text]Pour la 2ème étape, nous rentrons dans le vif du sujet : la conduite des entretiens. Comment cela se déroule-t-il ?
Les responsables ont deux options : conduire leurs entretiens en interne ou choisir de les externaliser.[/fusion_text][fusion_text]Quels sont les principaux points abordés lors des entretiens que vous menez ?
Pour commencer, nous faisons le bilan des deux années écoulées en termes de formation, de progression professionnelle et salariale. Ensuite, le salarié réfléchit à la façon dont il se projette dans l’avenir pour déterminer les actions à mettre en place que ce soit à son niveau personnel ou celui de l’entreprise.[/fusion_text][fusion_text]Quel est le rôle d’Afortech lorsque les entretiens ont lieu en interne ?
Nous proposons une phase préparatoire d’une demi-journée pour former les responsables qui mèneront ces entretiens à leurs fondamentaux et analyser le contexte dans lequel ils s’inscrivent. Ensuite, s’ils le souhaitent, nous les formons, également sur une demi-journée, à la conduite des entretiens, notamment avec des jeux de rôle.[/fusion_text][fusion_text]Enfin, quelle est la 3ème étape ?
AFORTECH accompagne le debrief. Pour ma part, une fois les entretiens achevés, je propose une synthèse au dirigeant qui se les réapproprie. Il en va de même lorsque les entretiens sont conduits en interne. Avec cette synthèse, le dirigeant se positionne sur les souhaits de formation émis par ses salariés en fonction de ses projets d’entreprise. Lors de ce rendez-vous, Catherine SAUDECERRE est également présente pour accompagner le dirigeant dans l’élaboration de son plan de formation.[/fusion_text][fusion_text]D’après vous, quels avantages peut tirer un dirigeant de ce type d’entretiens ?
Ces entretiens peuvent permettre de fidéliser les collaborateurs puisque le dirigeant connait leurs motivations pour répondre à leurs attentes. Ces entretiens peuvent également constituer une clé pour repérer les collaborateurs qui ont le potentiel pour remplacer les futurs retraités et donc les préparer par des formations adaptées. Ils peuvent également faire émerger de nouvelles suggestions de formations, auxquelles les dirigeants n’avaient pas pensé pour certains postes.[/fusion_text][fusion_text]Angel SANCHEZ, vous venez d’achever les entretiens professionnels, conduits par un intervenant extérieur. Pouvez-vous revenir sur la façon dont AFORTECH vous a accompagné ?
Les équipes AFORTECH m’ont accompagné de A à Z pour faire face à cette obligation. Comme j’ai fait le choix de confier cette tâche à un prestataire, AFORTECH m’a aidé à le choisir. Ensuite, une fois les entretiens effectués, AFORTECH m’a également accompagné dans la définition de plans de formations individuels. Et bien sûr, ces formations seront dispensées par AFORTECH.[/fusion_text][fusion_text]Pourquoi avez-vous décidé d’externaliser les entretiens professionnels obligatoires ?
Mon métier, c’est de diriger l’entreprise BLANCHE. Je ne suis pas un spécialiste des RH, c’est donc naturellement que j’ai choisi d’externaliser les entretiens. Je ne vois que des avantages à faire appel à un expert extérieur. Sa synthèse est effectuée de façon totalement impartiale et, paradoxalement, les collaborateurs se confient plus facilement à quelqu’un qu’ils ne connaissent pas.[/fusion_text][fusion_text]Combien de collaborateurs sont concernés par ces entretiens et comment s’est déroulée la prestation ?
Chez BLANCHE, 22 collaborateurs sont concernés. L’expert a consacré une heure à chacun d’entre eux et tout a été bouclé en 3 semaines. J’ai bien entendu été consulté pour valider les synthèses tirées de ces entretiens, ce qui m’a permis, avec AFORTECH, de définir des plans de formations adaptés, conciliant à la fois les attentes des collaborateurs et les besoins de l’entreprise.[/fusion_text][fusion_text]Jean-Michel DAO, comment s’est déroulé votre accompagnement avec AFORTECH ?
J’ai eu un premier rendez-vous avec Catherine SAUDECERRE et Martine COLCHEN. Nous avons parlé de l’entreprise, de son histoire, de son actualité, de son avenir, de sa stratégie de développement et de formation, etc. Comme j’ai décidé d’externaliser les entretiens, AFORTECH m’a fait une proposition chiffrée et a établi un calendrier prévisionnel de la prestation.
A la fin des entretiens, j’aurai ensuite un rendez-vous pour débriefer et analyser les grandes lignes qui se dégagent.[/fusion_text][fusion_text]Vous avez décidé d’externaliser vos entretiens professionnels obligatoires, pour quelles raisons ?
Essentiellement par manque de temps. Je suis habitué à mener les entretiens annuels avec les cadres et principaux ETAM depuis des années, mais là, je ne voyais pas comment j’allais faire passer des entretiens à mes 44 collaborateurs ! De plus, je n’ai pas le savoir-faire d’un spécialiste des Ressources Humaines pour effectuer ce type de tâche. Lorsqu’AFORTECH a présenté l’opportunité d’externaliser ces entretiens, je n’ai pas hésité.[/fusion_text][fusion_text]Qu’attendez-vous de ces entretiens ?
Il faut savoir transformer une contrainte légale en opportunité. Je lirai donc avec beaucoup d’attention la synthèse des entretiens pour chercher des pistes d’évolution possible. Nous faisons déjà beaucoup de formations chez BONNET, mais, s’il le faut, je n’hésiterai pas à les compléter. Et, qui sait, peut être vais-je découvrir des talents cachés dans mon entreprise ![/fusion_text][/one_full]